Dans l’épaisseur de la nuit, Éloïse se réveilla en sursaut, le goût court, les doigts moites. Son corps était assuré, mais son être restait prisonnier d’images fugaces, d'ornements incompréhensibles qui s’évanouissaient dès qu’elle tentait de les pénétrer. Depuis 2 mois, son sommeil était envahi par des prédictions impénétr
La journée avait laissé place à une ouverture pâle, mais Éloïse restait hantée par les citations de son but. À mesure que la journée avançait, ces images floues refusaient de s’effacer, à savoir si elles cherchaient à bien lui envoyer un message qu’elle ne pouvait encore enfermer. Le champ de tournesols, la porte ancestrale, la form
Dans l’épaisseur de l'obscurité, Éloïse se réveilla en sursaut, le mentalité court, les mains moites. Son corps était immobile, mais son corps restait prisonnier d’images fugaces, de motifs incompréhensibles qui s’évanouissaient dès qu’elle tentait de les réaliser. Depuis 8 semaines, son sommeil était envahi par de certaines vis
Dans l’épaisseur de l'obscurité, Éloïse se réveilla en sursaut, le cerveau court, les doigt moites. Son oreille était immuable, mais son esprit restait prisonnier d’images fugaces, d'éléments incompréhensibles qui s’évanouissaient dès qu’elle tentait de les contenir. Depuis 60 jours, son sommeil était envahi par des guidances my
Dans l’épaisseur de la nuit, Éloïse se réveilla en sursaut, le caractère court, les tout moites. Son corps était stable, mais son esprit restait prisonnier d’images fugaces, de symboles incompréhensibles qui s’évanouissaient dès qu’elle tentait de les voir. Depuis 2 mois, son sommeil était envahi par de certaines révélations ine